[Elle à droite, moi à gauche]
Il n'y a pas de mots pour exprimer comme je l'aime.
Pas de mots pour décrire ce qui se passe dans mon ventre quand je la vois.
Pas de mots pour formuler l'amour que je lui porte.
Pas de mots pour symboliser le bonheur auquel je tends depuis que je l'ai rencontrée.
Pas de mots pour dire à quel point je me battrais jusqu'au bout.
All the thoughts lead back to you
Back to what was never said
Back and forth inside my head
I can't handle this confusion
I'm unable ; come and take me away
Les jours passent, et nous "tenons" l'une avec l'autre. Je déteste le temps qui s'écoule mais j'aime compter les jours passés avec elle.
Mais j'ai la sensation que tout va s'écrouler d'un seul coup, je suis tombée dans ses bras sans savoir ni comment, ni pourquoi.
Ce n'est pas tout rose, les bas suivent les hauts de très près, je prends sur moi, je donne de moi. Mais un jour, tu m'auras épuisée.
Partiras-tu ou accepteras-tu l'inversion des rôles? Tu n'aimes pas la facilité, j'aime le compliqué, va-t-on tomber ou mieux se relever ensemble?
Je vis dans la peur de te perdre. Tu es devenue mon unique.
Celle pour qui je me suis battue, pour qui je continuerais à me battre. Celle pour qui j'ai envie d'être droite et de devenir quelqu'un de bien.
J'ai arrêté de me détruire pour elle. Ou plutôt grâce à elle.
Je devrais me contenter de ce bonheur, mais je cherche toujours plus, c'est dans ma nature, ne m'en veux pas..
Ton lunatisme me brise de l'intérieur et je refuse de montrer quoique ce soit, ou même d'en parler. Malgré tout, tu le sens. J'ai enlevé ma carapace trop vite et je la remets, tant bien que mal.
Juste pour ne pas souffrir.
Mais je T'ai trouvée.. avec toi, je me sens bien, naturelle, et surtout vraie. Je continue à me mettre des barrières mais elles tombent petit à petit.
Avec toi, il n'y a pas de tabous, pas de faux semblants.
Tu m'aimes pour ce que je suis (?)
Je t'aime pour ce que tu m'apportes mais aussi pour ce que tu me fais vivre.
Les heures de galérage posées dans Paris, où l'on fait deux cent mètres par heure, les courses à cloche pied et les foot à Chatelet, les relations dominante/dominée à Clignancourt, les heures passées sous les draps, par terre, dans le bain, dans la voiture, sur la pelouse, dans la douche, sur le lavabo, contre le mur à faire l'amour et tout ce qui s'en suit, je ne peux oublier. Ca reste ancré en moi.
Ta façon de me regarder, d'être là, de me prendre dans tes bras, de faire attention à moi, tes mots me touchent.
Et je ne sais comment te le rendre..
à 14:36