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You Know I'm No Good


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struggle : C'est pas marrant si tu devines pas ^^
Songe : Bon retour chez toi, parce qu'ici tu es une habituée sans qui joueb serait un peu moins joueb :)
Hylst : MMMhhhh... Jny... figures toi que j'y songeais ... mais ne voulant pas trop m'avancer... =D
Inconnu :
Delirium-Tremens : Une petite pensée ici...
Delirium-Tremens : Coucou :)
Morphee : J'aime bien ta façon d'écrire. Continues :)
Delirium-Tremens : On dit "pas de nouvelle bonne nouvelle" mais moi j'y crois pas, ça va?
stupidchick : c'était toi aussi Kassidy?
struggle : Oui-oui
stupidchick : revieeeeennns J-ny!
Delirium-Tremens : Pinaise, toi aussi tu n'écris plus... j'espère que ça va pour toi.

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Vendredi 08 Août 2008
If only my heart had a home - Don't need to suffer
Vendredi, il y a deux semaines, sms de G : "On peut se voir si tu veux."
Alors oui bien sur que je veux.
J'arrive, on ne s'embrasse pas, on va manger, on parle comme si de rien n'était malgré une gêne apparente.
Son portable sonne, elle décroche, son interlocuteur parle de moi puisqu'elle répond : "Ce n'est pas mon ex et elle est en face de moi."
Je ne suis pas son ex?
Je ne dis rien. Je l'accompagne à un entretien où elle ressort en me disant "Je ne commence que dans une semaine, ça veut dire que l'on peut partir en vacances."

PARDON?

Encore une fois, je ne dis rien, fais comme si de rien n'était.

Et deux jours plus tard, nous voilà parties en Normandie.
Cinq jours entiers où l'on n'était que toutes les deux. Rien qu'elle et moi, en autarcie totale.
Je ne supporte pas d'être entourée plus de 48h sans avoir un moment de solitude habituellement. Il ne s'est pas écoulé une minute sans que l'on soit ensemble. J'ai aimé chaque instant passé à ses cotés.
J'oublierai pas les virages serrés pris à 60 km/h, ton regard pour me dire "En amour, rien n'est impossible", ta peur de l'orage, le texto que tu m'as écrit au restaurant pour me dire "T'es belle mon coeur", toi dans la mer, les journées entières passées à la plage de Trouville, mes mains sur ton corps. Tout ça, ça ne s'oublie pas.

Mais depuis qu'on est rentrées, je vis dans une angoisse constante. Cette peur de la perdre qui ne me quitte pas. C'est devenu juste insupportable. D'autant qu'elle le prend plus que bien, notre éloignement. Ca me tue.
Je prends des Lexomil comme des bonbons et ça ne me calme pas, j'en ai plus que marre de vivre dans cette peur.
Plus rien n'a d'importance à part elle, je ne vis plus.
Je sors tous les jours, tous les soirs, toutes les nuits. Pour oublier que ma vie est insupportable sans elle.

Je suis en train de crever sur place, je me dis que tout ce qui compte c'est qu'on soit ensemble, mais jusqu'à quand? pour combien de temps?
Je voudrais pouvoir lui dire toutes ces choses mais je n'y arrive pas, ça ne sortira pas. Peur de faire un faux pas et de la perdre.

Cette relation me prend plus qu'elle ne me donne.

Ecrit par struggle, à 17:55 dans la rubrique "Hell on Earth".
Lien permanent 6 commentaires


Dimanche 27 Juillet 2008
Vacances
Pas le temps de poster, je pars en Normandie à l'arrache demain avec G. (oui-oui) jusqu'à vendredi. J'expliquerai tout à mon retour.
Bonnes vacances à tous.

Ecrit par struggle, à 14:43 dans la rubrique "Hell on Earth".
Lien permanent 3 commentaires


Jeudi 24 Juillet 2008
L'amour m'a mise à terre.
   _Alors, c'est à chaque fois la même chose?
On est debout, on y croit, on tombe, on se relève et on retombe?
C'est bien la fin qui me dérange, se relever pour retomber.
J'en ai assez d'aller toujours au casse gueule.

   En plus de lui donner ma confiance, je lui avais donné une partie de moi. Un petit morceau de mon âme, un bout de mon coeur. Et elle a tout jeté comme ça.
Je n'arrive pas à y croire. CA NE PEUT PAS SE FINIR COMME CA.
Ce n'est tout simplement pas possible.
Je refuse d'y croire, je l'aime, elle m'aime, on s'aime.

   _Assise tout au bord du balcon, la cigarette entre les doigts, je me demande pourquoi. Pourquoi a t elle fait ça? Pourquoi suis je tombée dans ses bras si facilement?
Je regarde l'éclairage publique cacher la lumière des étoiles. J'aimerais me laisser crever là.
J'aurais voulu savoir pleurer, ou même m'énerver à la place de tout intérioriser comme ça, mais je ne suis plus capable d'aucune émotion, à part celle de souffrir de te voir partir.
Je ne veux pas repasser par là. Pas devoir re-subir l'Après.
J'avais foi en elle. Et j'ai encore foi..
Je n'ai pas envie de me relever pour retomber.
J'aimerais trouver la force de m'étrangler.
Je dis que je ne baisserai pas les bras mais j'ai envie de me laisser tomber. J'en ai assez de me battre contre du vent.
Je me sens tellement loin, j'ai tout intériorisé, tout gardé au plus profond. Et malgré cette colère et cette tristesse cachées quelque part en moi, je me sens vide. Tout peut tellement glisser sur moi maintenant. Rien n'a plus d'importance.
Il ne me reste qu'à marcher au loin avec une blessure en plus.
Ca me semble tellement inconcevable.
J'ai envie de m'enfoncer une lame au fond de la gorge.

   _Je me releverai. Mais à quel prix? Je ne peux y laisser encore un morceau de mon coeur. Je ne sais plus quoi faire, où aller et surtout pourquoi. Je ne sais plus où ça mène, j'ai trop mal. Je suis brisée de l'intérieur.
Les morceaux ça se recolle, ça se répare pas.
Avec quoi vais je les recoller? C'est pas possible putain, c'est pas possible, elle n'a pas le droit de me laisser.

   _J'en ai même pleuré, les larmes coulaient sur mes joues, mais pas assez. J'ai eu les yeux gonflés, la gorge serrée, mal dans les tripes.

G. - Je dois arrêter de vivre par toi.
J. - Tu vis par moi?
G. - Je vis par toi parce que quand tu ne m'envoies pas de messages à mes pauses, ça me blaze, quand tu m'appelles pas, ça me saoule, quand tu sors j'ai peur qu'il t'arrive quelque chose ou que tu rencontres quelqu'un d'autre, parce que quand t'es dans mes bras, je ne pense qu'au moment où tu devrais partir parce que ça me rendra triste.

   Ce matin, le réveil a été plus que difficile. Elle n'était plus là. L'angoisse insupportable. De celles qui sont incontrolables parce que c'est l'inconscient qui régie tout. Impossible de relativiser.
Et je me suis rendormie devant la télé en début de soirée. Le réveil a été pire que tout. La crise d'angoisse qui dure une bonne demi heure mais qui semble durer l'éternité, où on ne sait plus rien, on n'arrive pas à se réveiller complètement pour s'extirper, on veut s'enfuir mais on n'y arrive pas.
Alors j'ai pris un calmant, puis deux, puis trois, et j'ai arrêté de compter après le cinquième.
Je veux juste me calmer.
Qu'elle me laisse un peu de répit, qu'elle sorte de mon esprit..
Je ne veux plus m'endormir. J'ai trop peur.

Ecrit par struggle, à 22:33 dans la rubrique "Hell on Earth".
Lien permanent 4 commentaires


Mardi 22 Juillet 2008
Y'a des soirs comme ça
Y'a des soirs comme ça où je me sens vide, seule, délaissée, perdue, blazée, inutile.
Y'a des soirs comme ça où plus rien n'a d'importance, où je me sens sortir de mon corps, j'ai la sensation de me regarder sans pouvoir faire quelque chose.
J'ai le ventre qui se tord sans savoir pourquoi.
J'essaie de crier à l'aide comme je peux mais je ne sais pas le faire.

I'm gonna let it go.


Les touches se brouillent légèrement, j'aimerais te dire tout ce que je ressens, tout ce qui se passe à l'intérieur de moi, mais j'y arrive pas, j'ai jamais su mettre des mots là dessus.. Excuse moi d'être comme ça. J'te demande pas de comprendre, ça en a fait fuir plus d'un..

I feel like I am all alone
All by myself I need to get around this
My words are cold, I don't want them to hurt you
If I show you, I don't think you'd understand
Cause no one understands
.

Cinq ans que ça dure, que j'essaie de trouver la source du "problème".
Je me cache derrière les problèmes des autres, j'essaie encore de sauver tout le monde mais je ne sais même pas me sauver moi.
I wanna drown my sorrow.

Je crains que j'arriverai pas réellement à aller mieux, j'ai beau me battre, je ne sais pas pourquoi.
Y'a cette voix qui me pousse, qui m'oblige à me battre, qui me dit qu'il faut même si je sais pas où ça mène, j'ai simplement pas le droit de me laisser crever sur place.

Dites moi à quoi ça rime, moi j'commence par ne plus y croire.



Ecrit par struggle, à 00:03 dans la rubrique "Hell on Earth".
Lien permanent 4 commentaires


Mardi 15 Juillet 2008
On fuit davantage le bonheur que le malheur


[Elle à droite, moi à gauche]

Il n'y a pas de mots pour exprimer comme je l'aime.
Pas de mots pour décrire ce qui se passe dans mon ventre quand je la vois.
Pas de mots pour formuler l'amour que je lui porte.
Pas de mots pour symboliser le bonheur auquel je tends depuis que je l'ai rencontrée.
Pas de mots pour dire à quel point je me battrais jusqu'au bout.

All the thoughts lead back to you
Back to what was never said
Back and forth inside my head
I can't handle this confusion
I'm unable ; come and take me away

Les jours passent, et nous "tenons" l'une avec l'autre. Je déteste le temps qui s'écoule mais j'aime compter les jours passés avec elle.
Mais j'ai la sensation que tout va s'écrouler d'un seul coup, je suis tombée dans ses bras sans savoir ni comment, ni pourquoi.
Ce n'est pas tout rose, les bas suivent les hauts de très près, je prends sur moi, je donne de moi. Mais un jour, tu m'auras épuisée.
Partiras-tu ou accepteras-tu l'inversion des rôles? Tu n'aimes pas la facilité, j'aime le compliqué, va-t-on tomber ou mieux se relever ensemble?
Je vis dans la peur de te perdre. Tu es devenue mon unique.
Celle pour qui je me suis battue, pour qui je continuerais à me battre. Celle pour qui j'ai envie d'être droite et de devenir quelqu'un de bien.

J'ai arrêté de me détruire pour elle. Ou plutôt grâce à elle.
Je devrais me contenter de ce bonheur, mais je cherche toujours plus, c'est dans ma nature, ne m'en veux pas..
Ton lunatisme me brise de l'intérieur et je refuse de montrer quoique ce soit, ou même d'en parler. Malgré tout, tu le sens. J'ai enlevé ma carapace trop vite et je la remets, tant bien que mal.
Juste pour ne pas souffrir.

Mais je T'ai trouvée.. avec toi, je me sens bien, naturelle, et surtout vraie. Je continue à me mettre des barrières mais elles tombent petit à petit.
Avec toi, il n'y a pas de tabous, pas de faux semblants.
Tu m'aimes pour ce que je suis (?)

Je t'aime pour ce que tu m'apportes mais aussi pour ce que tu me fais vivre.
Les heures de galérage posées dans Paris, où l'on fait deux cent mètres par heure, les courses à cloche pied et les foot à Chatelet, les relations dominante/dominée à Clignancourt, les heures passées sous les draps, par terre, dans le bain, dans la voiture, sur la pelouse, dans la douche, sur le lavabo, contre le mur à faire l'amour et tout ce qui s'en suit, je ne peux oublier. Ca reste ancré en moi.
Ta façon de me regarder, d'être là, de me prendre dans tes bras, de faire attention à moi, tes mots me touchent.
Et je ne sais comment te le rendre..

Ecrit par struggle, à 17:06 dans la rubrique "Hell on Earth".
Lien permanent 1 commentaires


Lundi 07 Juillet 2008
Et toi, tu cherches et tu cours..
Je dois juste m'asseoir, je ne dois pas parler
Je ne dois rien vouloir, je dois juste essayer de lui appartenir
De lui appartenir, je l'aime à mourir..

Fallait que je le dise, cette relation est en train de me tuer petit à petit.
Je l'aime et ça ne suffit pas.

Je suis en train de perdre espoir que ça pourra changer un jour. Je me protège mais je doute que ça suffira.

J'ai arrêté de croire que l'amour ne fait que nous coller un sourire sur la face, arrêté de croire que l'amour c'est tout beau, y'a davantage de bas que de hauts et faut s'y faire.

Ca me brise le coeur un peu plus à chaque fois, dans ses bras tout s'envole et ça vaut le coup.

Pourquoi elle? J'arrive toujours pas à comprendre. Cet effet qu'elle a eu sur moi. Et quand elle partira, je ferai comment?
Tuer les monstres.

Je me voile la face, j'ai les yeux mi-clos, au fond je suis lucide mais tout ce qui compte, c'est qu'on soit ensemble. Peu importe les épreuves.

Ecrit par struggle, à 01:51 dans la rubrique "Hell on Earth".
Lien permanent 3 commentaires


Lundi 30 Juin 2008
You see, I'd wait a lifetime Cuz' you're ma destiny
Mes parents sont rentrés hier.
Il n'y a plus du monde tous les jours à la maison, il n'y a plus les bouteilles d'alcool "trophées" sur la table, il n'y a plus le shit qui traine sur la table, la vaisselle sale dans l'évier, les chambres squattées, Elle qui arrive par surprise sur ma terrasse sans m'avoir prévenue et moi qui crie, elle à qui j'ai fait l'amour les trois quarts du temps qu'elle a passé ici.

Ca me manque déjà. La vie en accélérée, toujours en retard, pas une seconde pour respirer ou réfléchir, rentrer chez soi et voir des gens posés à table prendre l'apéro qui me demandent ce que je fous là, "Je suis chez moi hiiin".

J'ai enfin eu ce que je voulais, elle.
Je me suis battue et je n'en suis qu'au début.
Je sais trop bien à quoi m'attendre.
"Elle n'a pas le droit de te faire mal même si elle le répare après".
Et pourtant, c'est ce qu'elle fait.

Mais tout ce que je souffre n'a plus aucune importance quand elle est dans mes bras à m'appeler "bébé", à me regarder dans les yeux et à me dire "Je t'aime..", quand elle est couchée sur mon ventre à s'endormir, quand je me réveille dans ses bras et qu'elle me dit "C'est l'heure mon bébé" et que dans les secondes qui suivent, on est déjà en train de faire l'amour, quand on se tape nos délires à nous, quand on sent notre complicité à des kilomètres, quand je me sens bien avec elle.

"On dirait un vieux couple.
- Dis pas ça, ça fait même pas une semaine qu'on est ensemble.
- Nan, mais vous faisiez déjà vieux couple avant même d'être ensemble."
Et je ne le prends que bien parce qu'avec elle, c'est devenu naturel, je suis à nue, bien sur que je me protège (on ne change pas ce qu'on est) mais je me sens tellement bien.

Et même si j'ai mal de son instabilité, de son infidélité, de ses mots, de son lunatisme. Que j'ai mal quand elle me dit qu'elle ne veut pas se poser alors qu'elle disait le contraire la veille et qu'elle met en pseudo MSN quelques heures après "T'aime mon bébé".
Bah je l'aime quand même.
Et le matin quand je me lève, j'ai une raison de me lever.
Même si elle est douloureuse.
Je revis.

Ecrit par struggle, à 00:42 dans la rubrique "Hell on Earth".
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Dimanche 22 Juin 2008
Liquid Sugar
Plus de nouvelles depuis une semaine, j'en suis désolée, mes parents sont partis et c'est un peu le skwat ici. J'ai plus une seconde à moi.

Je pourrais vous raconter la tonne de choses qui s'est passé en une semaine, les hauts, les bas, les putains de bas qui font que ce n'est qu'une descente interminable dont on espère remonter, on y croit dur comme fer, qu'on va remonter, mais on redesend encore plus bas. Je pourrais vous raconter que j'ai brisé un coeur pour réparer le mien. Je pourrais vous raconter les heures passées à ses côtés, à la regarder, à la supplier pour qu'elle veule de moi, à l'embrasser, à être dans ses bras. Je pourrais vous raconter toutes ces choses qu'elle me dit, ces choses qui restent gravées, ses sms où elle me dit "Je t'aime", ses humeurs changeantes où elle passe de "On ne se parle plus" à "Je ne peux résister à ton sourire et à ton regard amoureux".
Je pourrais vous raconter que j'ai fait de ma vie un bordel innommable, que j'suis tombée encore plus bas que je ne le pensais, que j'ai encore perdu du poids, que ma vie c'est les montagnes russes qui descendent trop, trop vite à tel point que je finis par en vomir.
Mais je ne le ferais pas.

Je dirais ce qui se passe réellement, ce qui se passe sans que personne ne le voit. Ce que l'on ne sait pas.

J'ai foutu un an et quatre mois en l'air. Un an et quatre mois que je ne m'étais pas coupée. Et je suis retombée. Je me suis décorée le haut de la cuisse gauche.
Assise par terre dans ma salle de bain, j'ai pris ce qui me tombait sous la main, n'importe quoi pourvu que ça coupe. Cutter, cran d'arrêt, rasoir. Et j'ai éraflé ma peau d'une quarantaine de petites coupures.
J'ai pas enfoncé la lame sous la peau. Je ne suis pas tombée si bas.
Le sang a coulé et je me suis calmée très vite. L'impression de marcher sous l'eau.

Mais je crie que je ne me laisserai pas abattre.
Je l'aime à crever. Je l'aime à saigner.
J'aurais voulu mieux savoir t'ouvrir mon coeur mais j'ai su t'ouvrir que mon corps.
J'aurais voulu que tu acceptes d'entendre ce qu'il y avait à l'intérieur de moi, mais t'as refusé alors je l'ai fait sortir comme j'ai pu.

Je voulais juste avoir foi en quelque chose. Une putain de raison de me lever le matin.
J'ai été refusée à Sup de Pub (école de communication et de marketing), l'an prochain je vais rester ici et ça me tue.
Mais j'ai quelque chose.

Je suis (enfin) avec elle.
Mais pour combien de temps?
Ecrit par struggle, à 20:58 dans la rubrique "Hell on Earth".
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Mardi 10 Juin 2008
I hate myself for loving you
16% de mon salaire passe dans la weed / le shit.
Quand je vais au restau, 1/3 de mon addition perso passe dans la nourriture, 2/3 passe dans l'alcool.
Je fume plus d'un paquet par jour.
J'suis réellement défoncée 12/24.
Les anxios, les joints, les joints AUX anxios, les rails, le poppers, tout ce qui peut me défoncer presque légalement.

Mes quatre derniers articles ne parlent que d'elle.

Et on me dit que ça ne va aller qu'en s'empirant.

Plus tu baises, moins tu cogites, mieux tu dors.

J'ai un problème?
J'veux juste retrouver une raison de me lever le matin, c'est tout.

Ecrit par struggle, à 01:23 dans la rubrique "Hell on Earth".
Lien permanent 3 commentaires


Dimanche 08 Juin 2008
Toi Tu Dis Que T'es Bien Sans Moi
--> Et le sourire des filles non ne me fait plus rien.
Tu verras, tu verras..

Et quand elle sourit, c'est tout son visage qui s'illumine. Son regard qui me transperce au plus profond de mon âme.
Je la regardais, je n'avais envie que de l'embrasser.

Lovée contre elle, c'est comme si nous nous en remettions au destin, que ne ne pouvions rien contre, que c'était comme ça.
Elle est allongée, je me mets contre elle, je respire son odeur, mon visage collé à son cou, on ne croise pas nos regards. Et, c'est plus fort que nous, je me donne à elle.
Elle ne peut s'empêcher de m'embrasser, et je n'attends que ça.

Je me souviendrais de tous les foutus détails, son regard de biais dans la voiture, ses yeux bleus, son sourire, son putain de sourire, sa voix, je pourrais l'écouter parler des heures, je l'ai écouté parler des heures sans me lasser une seule fois.
Et je suis jalouse de toutes ces filles qui ont pu l'avoir sans la partager alors que je n'ai eu le droit qu'à des fragments d'elle. Il n'y a que ces moments qui sont à moi, sa façon de se retenir, d'essayer de me repousser pour ne pouvoir éviter l'inévitable.

Et puis, elle est près de moi, je ne peux pas la toucher, je peux à peine l'approcher. Le peu de choses que je lui dis doit être neutre. Je la vois en aimer une autre, ça ne me fait même pas mal. Parce qu'elle sourit et que je ne peux y résister. C'est juste insoutenable comme situation.
Et quand j'y repense, ça déchire. ELLE NE SERA JAMAIS A MOI.
Je me suis battue pour elle et je repars avec le coeur en morceaux.
Tout ça, c'est terminé maintenant.
You're just broke my heart.
If only I can scream.

Et tous les joints, et tous les verres d'alcool, et tous les moments où je suis défoncée qui sont beaucoup trop fréquents ne changent rien, ne guérissent rien.

Pourquoi tomber amoureuse si c'est pour endurer ça? Je veux plus, je veux plus, je veux plus.
Plus les jours passent et moins j'y crois.
J'ai envie d'y croire pourtant. Mais j'me casse la gueule à chaque fois. J'en ai assez de tomber, et plus la force de me relever.

Toi tu dis que t’es bien sans moi
Et qu’au fond de mes bras il y fait trop froid
Toi tu dis que t’es bien que t’es bien que t’es bien sans moi
Et moi y’a quelque chose qui fait que j’y crois pas
Toi tu dis que t’es bien sans moi
Et que mes bras ne sont pas faits pour toi
Toi tu dis que t’es bien que t’es bien que t’es bien sans moi
Mais moi y’a quelque chose qui fait que j’entends pas.


Ecrit par struggle, à 19:47 dans la rubrique "Hell on Earth".
Lien permanent 9 commentaires


Jeudi 05 Juin 2008
Avec le temps va, tout s'en va. / Beautiful Garbage (3)
"Pour que tu m'oublies (sous entendu, que tu ne sois plus amoureuse de moi), faudrait qu'on arrête de s'appeler trois fois par jour et de s'envoyer des messages tous les quarts d'heure."

C'est pas faux. Mais quand je t'envoie pas de énième message le soir, c'est toi qui m'appelle quatre fois le lendemain matin et qui ne veut plus raccrocher alors que je suis sous la douche..

Tu m'appelles pour me dire que t'es heureuse.. et putain, qu'est ce que j'aime quand tu es de bonne humeur. Ca me donne envie de te prendre dans mes bras aussi fort que possible.
Mais si t'es si heureuse, c'est grace à elle.
Et ça, ça torture.
Mais j'te vois contente, et ça, ça n'a pas de prix.

Je voudrais juste que ça se passe pas comme ça.
T'es tellement mignonne.
Je sais pas pourquoi j'ai cette image de toi, en jogging avec tes lunettes sur le parking de la salles des fêtes de Tav****, qui s'approche de moi avec un regard à transpercer les entrailles pour m'embrasser. Ca ne me quitte plus. J'ai ressenti ça tellement fort.
Etait-ce réciproque?

"T'es tombée bien bas pour une fille, j'dois l'avouer."
Nan, juste retombée cinq ans en arrière.
On se construit une carapace, on devient plus forte par trop de coups, on semble invincible, on en vient même à se croire invincible. Les coups glissent sur nous, on n'a plus mal, on devient (trop) lucide, on se protège des coups dans l'eau.
Ca prend des années mais on ressort forte. Pour de vrai. On ne montre rien, on ressent à peine la douleur et la vie suit son cours.
Pour rencontrer quelqu'un, qui au bout d'une foutue semaine, détruit tout.
J'ai pas la force de tout reconstruire. Je me suis battue chaque foutu jour depuis cinq ans, et j'ai rendu les armes comme ça. D'un claquement de doigts (c'est le cas de le dire). [Okay', je fais de l'humour naze, je sors].
J'ai plus le temps, plus la force de reconstruire ça.



. Quatrième phase : Rechute?
Ca fait une semaine que je ne mange quasiment plus.
J'ai arrêté mes menus équilibrés, j'ai arrêté de me forcer. J'ai plus la force pour ça non plus.
Pathétique.
C'est pas que je ne veux pas mais chaque bouchée me donne envie de vomir. J'ai encore perdu du poids,
et j'm'en fous.
Et puis parfois, j'ai ce besoin de manger, c'est pas une envie, mais un vrai besoin. Je ne peux plus m'arrêter. Manger, n'importe quoi, c'est pas important. Du moment que ça me remplit l'estomac. Que ça comble ce putain de vide.
Je n'arrive plus à m'arrêter, c'est réellement plus fort que moi, même si je ne suis pas seule, j'arrive plus à me contrôler. Et j'arrête seulement quand ça fait mal au ventre, que ça donne la nausée. Mais le vide est toujours là, quoique je fasse.

. Je vais me mettre à croire en Dieu malgré mes nombreux péchés d'aujourd'hui. A commencer par se poser devant une église pour fumer un joint. (C'était pas du tout voulu, simplement le seul endroit de Chatelet où l'on pouvait être un peu tranquilles).
Quitte à être devant l'église, autant la visiter.
Et puis Laura veut allumer un cierge, alors on l'allume ensemble, pour "nous". Le cierge s'est tout de suite éteint. (C'est réellement un signe divin, je vais devenir croyante.) Ca n'a pas touché Laura et je l'ai rallumé. (Elle veut qu'on vive ensemble l'an prochain. "D'accord ma puce, mais avant d'emménager, faudra peut être que je te dise que j'en aime une autre et que j'ai couché avec elle alors qu'on était ensemble". Ou pas.)
Après avoir allumé le cierge, on s'est embrassées.
Embrasser une fille dans une église.
Je vais crever en Enfer.


Ecrit par struggle, à 01:44 dans la rubrique "Hell on Earth".
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Mardi 03 Juin 2008
JE SUIS CE QUE TU VEUX BIEN FAIRE DE MOI ET TU FAIS TOUT ET N'IMPORTE QUOI
C'EST L'ENFER SUR LA TERRE, IL FAIT ETOUFFANT, IL FAUT DE L'AIR OU ON VA TOUS MOURIR, on va tous mourir..

Mon joint fume encore dans le cendrier, je suis incapable de bien l'éteindre, comme les clopes.
Ma chambre est un grand cendrier froid.

Pourquoi tu dis que t'as toujours été claire, qu'on sera jamais ensemble alors que t'es pas foutue d'arrêter de me parler, de m'envoyer des messages, de m'appeler?..
Putain qu'est ce que j'aime te regarder dormir. J'pourrais rester des heures à te regarder comme ça.


J'ai envie de crier, d'hurler aussi fort que possible.
Au début, ça a juste piqué. Sans vraiment faire mal. C'est comme si la douleur était montée petit à petit, pour m'écraser les poumons, taillader mes entrailles, serrer ma gorge. J'ai tellement envie de tout casser.
Tuer tout ce qui restait de vie en moi.
Si j'avais pu, j'aurais pleuré. Tellement ça m'a donné envie de vomir et de jeter mes poings sur le mur.
MAIS REGARDE NOUS. On est mortes avant même d'être nées.
Ta voix, ton sourire quand je te disais certaines choses me restent en travers de la gorge.
La seule chose qui me rassure un peu, c'est que t'as autant envie que moi de crier.

Pourquoi tu m'fais autant mal?
Pourquoi tu me mens?
Pourquoi tu ne peux t'empêcher de me quitter?
Pourquoi tu me dis que ce ne sera jamais possible entre nous alors que je ne rêve que de tes bras..


Y'a ces choses que j'voudrais te dire,
ces questions qui torturent
et toi.

Ca tord le ventre. Cette peur qui tiraille, ce besoin malsain de continuer.
Peur d'être désillusionnée, j'ai le souffle coupé.
Envie perverse, ton gout d'adieu sur mes lèvres,
c'est comme si on me compressait le corps tout entier.
_Tu t'es déjà noyée?
Moi ça m'arrive tous les jours, dès que je me lève.
J'me sens étouffer, la vision devient floue,
j'ai quelque chose qui envahit mes poumons,
et quand je me sens vaciller,
je rouvre les yeux et je me surprends à penser à toi.

Ta voix qui déchire mon sommeil,
tes mots qui se perdent dans ma tête,
ce serait plus simple si tu étais près de moi,
mais j'suis seule.

J'ai trop de monstres en moi pour aimer.

Parce que moi aussi y'a des choses que j'aimerai te dire ,
Mais je me sens obligé de me l'interdire ...
Pourquoi .
Peut etre pour ne pas te faire fuir,
Peut etre pour ne pas me fuir,
Peut etre parce que j'ai peur,
Peur de mes erreurs que je connais par coeur ...
Peur de toi et se que tu pourrais attendre de moi ...
Parce que je me demande pourquoi on arrive pas a fermer cette putain de fenetre msn,
Parce que quand je me lève, j'attends qu'une seule chose ,
Voir mon portable s'allumé en me disant que j'ai recu un message de toi ...
MAIS POURQUOI CA ARRIVE MAINTENANT TOUT CA ...
POURQUOI PAS AVANT ?
POURQUOI PAS APRES ....


Ta putain de réponse..
Ecrit par struggle, à 01:29 dans la rubrique "Hell on Earth".
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